L'eau qui mord soutient les opposant.es au projet de Bassin d'eaux vives à Epinal dans les Vosges  et dédie cet onglet à leur lutte.


8 mai 2021

Rassemblement samedi 8 mai à 11h au port d'Epinal

Participez à l'enquête publique  !

Epinal fait partie des quatre villes des Vosges désignées comme « centres de préparation préolympiques » pour les JO de Paris 2024 (avec Vittel, Géradmer, La Bresse).
Son projet de « stade d’eaux vives », conçu pour l’entrainement de kayakistes, est un non sens écologique. Situé sur la Moselle dont l’étiage se réduit comme peau de chagrin avec les sécheresses récurrentes, il va entrainer la bétonisation de toute une zone naturelle, consommer une quantité phénoménale d’énergie, exposer la rivière à des risques de pollution, mettre en danger l'eau, la biodiversité, le climat.
Il va priver de nombreuses familles et habitant.es d’un lieu de détente et de rencontres exceptionnel.
C’est un projet démesuré, inutile qui va rapporter gros aux bétonneurs et sponsors du sport business et peser très lourdement sur le portefeuille des contribuables.
Le tract « L’eau vive, c’est béton » apporte un éclairage synthétique sur les principaux types d’arguments des « anti-stade » :
Une enquête publique est en cours jusqu’au 10 mai 2021 à 17 heures .
Les avis d’opposition accessibles en ligne sont nombreux et très intéressants, appuyant plus ou moins sur les aspects techniques, écologiques ou humains du sujet. Ils posent de nombreuses questions auxquelles le dossier n’apporte aucune réponse ou des réponses trop partielles.
Soutenons les habitant.es d’Epinal et environs opposés à ce projet de sport business écocide. Apportons notre contribution, même symbolique, à cette enquête publique.
L'eau pour la vie, pas le profit !




Un projet de bassin d'entrainement pour les kayakistes des Jeux Olympiques 2024

 

Un stade d'eaux vives, il y en a un depuis longtemps à Epinal. Pas assez prestigieux  sans doute aux yeux d'élus  qui visent les JO 2024 et décident d'en construire un deuxième qui répondra, celui là,  aux besoins du sport business. 

 

Dès 2018, les médias conventionnels régionaux  commencent à préparer l'opinion en  multipliant les articles en faveur de ce projet.

 

En décembre 2019, une pétition est lancée par un  étudiant  alors organisateur des marches climat à Epinal .

Pétition notamment relayée par L'eau qui mord.

 

LIRE la présentation du projet par Vosges Matin (parmi ses innombrables articles, en voici un de décembre 2020)